Marylise Lebranchu revient sur le jour de carence ajouté par le gouvernement Fillon pour les fonctionnaires (qui n'en avaient pas), car elle trouve la mesure "injuste, inutile et inefficace" et "humiliante pour les agents". Pour rappel, dans le privé, il y a 3 jours de carence, alors qu'il n'y en avait pas pour les fonctionnaires.Et, quelle coïncidence, les fonctionnaires sont globalement plus souvent malades que les salariés du privé !? C'est certainement qu'ils doivent êtres plus fragiles, vous avez bien raison de prendre soin d'eux ! À moins que ça ne soit un cadeau (électoral), de 60 millions d'euros par an. Un énorme pot de vin, quoi. À la tête de l'Etat.Quelle misérable manœuvre, quelle manque de discernement, et quelle erreur de timing, alors que des milliards manquent chaque année pour boucler les budgets, et qu'il est plus qu'urgent de remettre les comtes à l'équilibre, alors qu'on est au bord de la faillite.Madame vous êtes injuste, inutile, et inefficace. Et votre action est humiliante pour la démocratie, humiliante pour la solidarité dans l'effort, et humiliante du point de vue intellectuel.carence est votre sujet, c'est aussi votre caractéristique.P.S. : oui, je suis en colère. Je suis épuisé, malade depuis hier, et je travaille quand-même, comme toujours. Et demain, je serai encore malade, et je travaillerai encore... normal. Enfin, normal pour moi, en tout cas

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ITespresso France : Laure de La Raudière (député UMP) : Lettre à Arnaud Montebourg : les « centrales d’énergies de l’information », un enjeu capital pour notre pays. http://goo.gl/mag/fw8L1Px

La France essaye de taxer certaines valeurs à 80%. Alors qu'à l'international, ça ne dépasse pas 60%.Qui donc va expliquer à ces neuneus, au gouvernement, qu'il est impossible de le faire et d'en tirer bénéfice ?

Les pays industrialisés construisent un marché du travail pyramidal, où les entreprises deviennent de plus en plus grandes, jusqu'à atteindre la taille critique du "too big to fail". Et dès qu'elles y arrivent, elles s'extraient du jeu (qui était collectif et relativement équitable), pour imposer leurs règles et leur domination aux individus et collectivités qui les ont créées. C'est immonde, et immoral.Pour résoudre ce problème, on pourrait travailler à harmoniser l'ensemble des règles dans un grand nombre de pays, puis imposer aux entreprises qui s'y trouvent, si elles dépassent un certain seuil (chiffre d'affaire par exemple, ou bénéfice, mais attention aux triches potentielles sur le bénéfice), de ne pas être autorisées à posséder d'activité hors de la zone : ni filiale, ni partenariat, ni rien du tout.Ça serait possible, techniquement. Encore faut-il en avoir le courage, et le faire de façon désintéressée. N'est-ce pas, messieurs les politiques ?

Are you talking to me? :-D Hilarant !

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