Les policiers, avec leur role de représentant de l'ordre, se doivent d'êtres professionnels, donc parfaitement neutres : du point de vue de la religion, l'origine ethnique, la classe sociale, le genre, ou encore l'orientation sexuelle. Des tests réguliers anti-radicalisation semblent nécessaires, une sorte de contrôle technique, tous les 2 ans. La profession voudra probablement protéger ses collègues en diminuant la charge émotionnelle des actions dénoncées et en rappelant la réalité du terrain et la difficulté d'exercer, mais la réalité crue est qu'il vaut mieux aucun service policier plutôt qu'un service comme celui-là. La violence n'engendre que la violence, il n'est pas tolérable qu'un agent représentant l'État tombe dans ce schéma destructeur, de pompier pyromane.