12:20
Microsoft, accusé de corruption dans 3 pays, se défend toujours de la même manière :
<< Microsoft (...) opère dans 112 pays avec 98 000 salariés et 640 000 partenaires commerciaux et que, par conséquent, « il n'est pas possible de dire qu'il n'y aura jamais d’actes répréhensibles. » >>
C'est tout simplement pitoyable. Ce genre d'argument seul (en dehors de l'affaire) mérite une sanction, c'est un crime intellectuel que de l'invoquer. C'est une dérive odieuse, et un abus de position dominante. Au lieu d'assumer la fraude, ce qui serait noble (autant que novateur dans leur cas), ils "assument" leur position et retournent un salissement d'image en une valorisation d'image. Enfin, en tout cas, tentent-ils de le faire.
Microsoft est coutumier du fait, car quand on l'interroge sur l'éventuelle espérée disparition des bugs dans leurs applications phares, ils répondent que NON, ça n'est pas prévu (de la bouche du directeur du développement), car il y a de plus en plus de millions de lignes de code, dans des applications toujours plus grosses, donc il est normal qu'il y ait de plus en plus de bugs.
Ce qui est bien, avec ce raisonnement, c'est que quand on l'emmène au bout, on voit que le logiciel explose, que l'entreprise coule et disparaît, inévitablement. Adieu donc.
<< Microsoft (...) opère dans 112 pays avec 98 000 salariés et 640 000 partenaires commerciaux et que, par conséquent, « il n'est pas possible de dire qu'il n'y aura jamais d’actes répréhensibles. » >>
C'est tout simplement pitoyable. Ce genre d'argument seul (en dehors de l'affaire) mérite une sanction, c'est un crime intellectuel que de l'invoquer. C'est une dérive odieuse, et un abus de position dominante. Au lieu d'assumer la fraude, ce qui serait noble (autant que novateur dans leur cas), ils "assument" leur position et retournent un salissement d'image en une valorisation d'image. Enfin, en tout cas, tentent-ils de le faire.
Microsoft est coutumier du fait, car quand on l'interroge sur l'éventuelle espérée disparition des bugs dans leurs applications phares, ils répondent que NON, ça n'est pas prévu (de la bouche du directeur du développement), car il y a de plus en plus de millions de lignes de code, dans des applications toujours plus grosses, donc il est normal qu'il y ait de plus en plus de bugs.
Ce qui est bien, avec ce raisonnement, c'est que quand on l'emmène au bout, on voit que le logiciel explose, que l'entreprise coule et disparaît, inévitablement. Adieu donc.